Voilà
les deux choses à retenir de ce match du dimanche soir, opposant, le Stade de
Reims à l’Olympique Lyonnais. En effet de l’espoir dans cette course au titre
opposant les lyonnais aux parisiens, grâce à cette victoire. Mais également,
l’occasion de fêter un record de but de la part de Lacazette, qui inscrit dans
ce match son 26eme but de la saison, faisant de lui, le meilleur buteur de
l’histoire de Lyon sur une saison, alors que cette dernière n’est pas terminée.
Auquel on peut ajouter, la 200eme de Bedimo dans ce championnat de France.
lundi 27 avril 2015
dimanche 26 avril 2015
Un sprint final sans attaquant
UN SPRINT FINAL SANS ATTAQUANT
Les supporters lancent le match et clament leur envie d'Europe. Ce match peut en effet permettre à l'ASSE de doubler l'Olympique de Marseille et l'AS Monaco, en cas de victoire.
Ce match débute avec un 4-2-3-1 intéressant aligné par Galette animé par le trio Hamouma-Corgnet-Gradel. Erding est malheureusement de nouveau titularisé. Bayal retrouve sa place de titulaire sans son parfait complément Loïc Perrin, forfait.
mercredi 22 avril 2015
Jamais deux sans trois !
Jamais deux sans trois !
Que cette expression fut vraie sur ce match ! Cela faisait deux années de suite que le PSG tombait en quart de finale de Ligue Des Champions...Jamais deux sans trois ! Paris restait sur deux défaites consécutives face à Barcelone...Jamais deux sans trois ! Après la défaite 3-1 au Parc Des Princes, les Parisiens se devaient de réagir pour espérer atteindre le dernier carré.
lundi 20 avril 2015
Un derby haut en couleur à forts enjeux
OL-ASSE : Un derby haut en couleur à forts enjeux
Le
titre d’un côté, la ligue des champions de l’autre, voilà ce qui attendait les
deux équipes à la fin de cette rencontre. Mais avant de parler avenir, parlons,
présent. En effet, le match, a été à la hauteur des attentes des supporteurs
comme des amoureux du ballon rond.
Le match débute sur les
chapeaux de roues du côté lyonnais qui avait aligné une équipe sans surprise,
avec un trio offensif en vue, notamment N’jie et Fekir, mettant en difficulté
d’entrée cette équipe stéphanoise venue sans doute jouer un match nul au mieux
un victoire sur le fil. Mais n’est-ce pas là l’erreur de Galtier, venir avec
une équipe identique à celle du match aller et qui avait posé tant de problèmes
et désorganisé ces lyonnais, sur le score sans appel de 3-0. Mais ce match
retour s’annonçait comme un revanche, et ce dispositif à 3 ou 5 défenseur en
fonction des points de vue, a été analysé et compris par les lyonnais, qui ont
durant, les 25 premières minutes maitrisés le ballon, les occasions, les duels,
mais manquaient cruellement de réussite en témoigne la barre transversale de
Fekir. Pour autant les efforts vont finir par être payant et N’jie inscrit un
but logique au vue de la domination lyonnaise, sur une passe…de Fekir, qui
depuis son choix de sélection à l’air plus libre et plus épanoui. Mais le match
n’était pas fini, et l’histoire n’était encore écrite. Le coach des verts,
Galtier, constate comme les téléspectateurs que ce dispositif ne marchera pas
deux fois, et décide de faire rentrer Hamouma à la place d’un défenseur. La
match prend alors une autre tournure, non pas que Lyon relâche l’accélérateur,
mais, sur une des premières occasion des verts, ceux-ci trouve après une double
parade de Lopes, sur Gradel, N’guemo profite pour frapper, Rose dévie celle-ci
de la main, qui coupable d’un geste humain, voir Suaresque (on se souvient tous
du match Uruguay-Ghana), provoque dès lors un pénalty, mais également un rouge
assez logique, mais parfois la logique est aussi cruelle, tant, lé penalty transformé,
les lyonnais se retrouvent à 10, avec un score de 1-1, alors que les lyonnais partaient
pour l’un de leur meilleur match de la saison.
UN DERBY DE 60 MINUTES
UN
DERBY DE 60 MINUTES
Ce
match a été haletant tout du long, joué à 200 à l’heure et se présente très mal
pour nous tant les lyonnais nous prennent à la gorge et Fournier bloque à
merveille le 3-5-2 de Galtier.
Une
flopée d’occasion à commencer par N’jie qui ne peut frapper face à Ruffier à la
30ème seconde puis les occasions lyonnaises s’enchainent. Galtier se
décide donc à changer Hamouma part à l’échauffement pour nous permettre de
rebasculer en 4-2-3-1. Fekir clos avec une frappe forte sur la barre de
Ruffier, battu. Les lyonnais finissent ce premier quart d’heure avec quinze
frappe à leur actif, Fekir et N’jie étant les plus dangereux. Hamouma
s’échauffe toujours, Galtier doit accélérer sinon on va prendre une valise.
A la 24ème
minute, ce qui devait arriver, arriva. Les lyonnais ouvrent le score, passe de
Fekir pour N’jie qui frappe angle fermé. Galtier est donc puni parce que trop
prévisible et que Fournier a parfaitement travaillé ce dispositif.
Enfin
Hamouma rentre, le pauvre Baysse sort et fait les frais de l’erreur de Galtier.
C’est alors qu’un nouveau match commence, nous sommes plus solides et nous nous
attaquons, enfin ! Corgnet délivre donc une magnifique passe à destination
d’Erding qui est encore une fois en position illicite, c’est Gradel qui
contrôle le ballon, se présente face à Lopes, glisse et remet dans la panique
pour N’Guemo qui frappe et c’est Lindsay Rose qui se la joue gardien. Carton
rouge, penalty, bravo monsieur Enjimi, c’était la bonne décision (c’est tout
simplement la règle cf. conférence de
presse de Fournier). Gradel s’élance et marque ce penalty pas facile tant nous
avions souffert et il nous ferait du bien. On pense alors qu’ils vont plus nous
laisser le ballon et que Gonalons va basculer dans l’axe. Non, ils vont continuer
à avoir le ballon et à jouer haut et bien et oui, Gonalons va bien basculer en
défense centrale. Cependant sur une erreur de marquage lyonnaise, Corgnet va
délivrer un amour de passe pour Hamouma qui va passer Lopes d’un super grand
pont et mettre ce but du 2-1 avant la mi-temps.
Nous
rentrons donc au vestiaire avec l’avantage au tableau d’affichage et c’est très
bien payé.
En
seconde mi-temps, nous sommes cueillis à froid, une erreur de marquage débile
permet à Jallet d’égaliser sur un coup franc magnifiquement déposé par Fekir.
Le match baisse peu à peu en intensité, nous aurions surement pu appuyer sur l’accélérateur
autour de la 70ème minute, mais quand on fait rentrer Diomandé…
Tiens Diomandé parlons-en, ce joueur ne sait jouer que vers l’arrière,
techniquement nous sommes proche du néant, ce joueur est inutile et je me
demande au nom de quelles qualités, il
est joueur professionnel.
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